En France, comme dans beaucoup de pays en difficultés, l’échec est mal perçu. Nous, les jeunes, nous devons changer cela. Je n’ai jamais vu un bébé se lever et marcher du jour au lendemain. En observant un enfant qui apprend à marcher, je le vois tomber, se relever et essayer de nouveau, plusieurs fois…
En France encore, comme dans beaucoup de pays en perte de vitesse, nous n’aimons pas les gens qui réussissent.
Mais alors comment faire ? Ni échec, ni réussite ?
Au fond, quand on y regarde de plus près, la vie est faite de réussites et d’échecs. On apprend de ses échecs et on savoure ses réussites.
Vivons la vie.
Et quand Etienne Bondot nous dit qu’il croit à la validité de son projet, même si celui-ci n’a pas été retenu par le jury, nous pensons qu’il reviendra sans doute avec un projet gagnant. C’est ce que nous lui souhaitons de tout cœur.

Assane Ndiaye